Président directeur général de Bloomfield Investment, partir de zéro pour atteindre les sommets, n’a pas été une sinécure pour « l’homme aux chaussettes rouges ». Sur la base de son propre parcours, l’homme estime que réussir dans le milieu des affaires est fonction de plusieurs facteurs. « Un projet correspond à un besoin de son environnement ; un besoin d’amélioration ou d’innovation, dans tous les cas, ça vient combler un vide. C’est en ce sens que votre projet a une probabilité de réussite très grande ; parce que vous répondez à un besoin qui existe. Et ce besoin, vous l’identifiez et c’est ça l’essence même de la création d’une entreprise », a-t-il insisté. Poursuivant, Stan Zézé qui a partagé son expérience au micro du confrère Brut, recommande de la patience « parce que l’entrepreneuriat n’est une course de vitesse », mais plutôt « une course de fond ». « Ce n’est pas qui arrive le plus vite, c’est qui arrive. Lire la suite sur lavenir.ci