Cette convention, signée par la Directrice Générale de PROCRÉA, Dr Myriam Kadio-Morokro, et le Directeur Général de la PISAM, Éric Djibo, marque un tournant majeur dans l’histoire de la médecine privée ivoirienne
La Clinique PROCRÉA et la Polyclinique Internationale Sainte Anne-Marie (PISAM) ont annoncé, ce vendredi 27 juin 2025 à Abidjan, la mise en place d’un partenariat centré sur la santé reproductive. Ce rapprochement marque une évolution notable dans le secteur de la médecine privée en Côte d’Ivoire.
À travers une convention signée lors d’un Café de Presse, les deux établissements ont formalisé une coopération dont l’objectif est de faciliter l’accès aux services de fertilité, en particulier ceux liés à l’Assistance Médicale à la Procréation (AMP). Désormais, les patients suivis à la PISAM pourront être orientés vers PROCRÉA pour bénéficier d’un parcours intégré incluant des techniques comme le Diagnostic Préimplantatoire (DPI).
Ce partenariat repose sur une organisation conjointe : circuits de référence définis, prise de rendez-vous centralisée, échanges confidentiels d’informations médicales entre les équipes, et sessions de formation croisées. L’initiative vise à améliorer la continuité des soins, à optimiser les délais de prise en charge et à garantir un accompagnement coordonné.
« Ce partenariat incarne une promesse, celle de dépasser les cloisonnements, de se faire mutuellement confiance et d’orienter chaque patient vers les soins les plus adaptés », a déclaré Dr Myriam Kadio-Morokro, Directrice Générale de PROCRÉA.
M. Éric Djibo, Président Directeur Général de la PISAM, souligne pour sa part l’importance de la bonne orientation médicale . « Travailler avec PROCRÉA, c’est enrichir notre accompagnement en donnant à chaque patient les meilleures chances dans son parcours de vie », a-t-il indiqué.
Ce rapprochement entre deux structures ivoiriennes confirme la possibilité d’une collaboration locale efficace dans un secteur où les partenariats internationaux sont généralement privilégiés. Il ouvre également la voie à une réflexion plus large sur les réseaux de soins nationaux, fondés sur des complémentarités réelles et une volonté commune de structurer l’offre médicale en Côte d’Ivoire.
Elyza Achi
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