Pour la 21e édition de la Soirée Ebony qui se tient ce samedi 18 janvier à l'hôtel Président de Yamoussoukro, ce sont 27 journalistes nominés, issus des différentes rédactions et chacun avec des productions journalistiques tout aussi pertinentes qu'intéressantes qui sont dans la course pour le Super Ebony 2019.
Avant cette soirée parrainée par le premier ministre Amadou Gon Coulibaly et qui a pour thème : "Quel appui aux médias pour un journalisme responsable et de qualité", Traoré Tié, journaliste et Super Ebony 2018 à accepté de nous livrer en ses impressions à quelques heures de la fin de son mandat.
Que retenez-vous de votre sacre en tant que super Ebony 2018?
Le Prix m’a permis, aujourd’hui, de passer du média presse écrite au média télé. Mieux d’être recruté eë tant que Jri (Journaliste reporter d’images) par la chaîne privée NCI qui vient sur le marché avec de grandes ambitions. De la plume, je suis aujourd’hui un journaliste capable de tourner ses sujets, de les monter et de les commenter. Je pense que je n’en serais pas là aujourd’hui sans le prix Ebony.
Vous allez rendre me tablier ce soir à un 'ou veau lauréat. Quel est votre sentiment?
Me voici désormais ex-Super Ebony. Le temps mange vraiment la vie. Tant d’images se bousculent encore dans ma tête. Comme celle de la réception du Prix des mains de la Première dame, Dominique Ouattara. Une première dans l’histoire des Ebony. Que d’émotions !
Quels conseils donnerez-vous aux 27 nominés de ce soir?
Je devine aisément l’état d’esprit des nominés. A ceux qui vont être ce soir, sur le podium de l’excellence, je leur tire déjà le chapeau. Ebony se vise. Ils ont su le viser. Et leur ténacité les hisse aujourd’hui au-devant de la scène médiatique nationale. Tout un message à ceux des nôtres qui resteront au pied du podium. Si tu veux épouser la fille du singe, apprend à grimper à l’arbre. Je voudrais humblement inviter tous ces confrères, hommes de plume, de micro et de caméra à méditer et à s’approprier cet adage mossi. Mon histoire connue de tous, il suffit pour comprendre que c’est possible quand on y croit et qu’on y travaille », dit-il très souvent, comme exemple.
Solange ARALAMON
Pour la 21e édition de la Soirée Ebony qui se tient ce samedi 18 janvier à l'hôtel Président de Yamoussoukro, ce sont 27 journalistes nominés, issus des différentes rédactions et chacun avec des productions journalistiques tout aussi pertinentes qu'intéressantes qui sont dans la course pour le Super Ebony 2019.
Avant cette soirée parrainée par le premier ministre Amadou Gon Coulibaly et qui a pour thème : "Quel appui aux médias pour un journalisme responsable et de qualité", Traoré Tié, journaliste et Super Ebony 2018 à accepté de nous livrer en ses impressions à quelques heures de la fin de son mandat.
Que retenez-vous de votre sacré en tant que super Ebony 2018?
Le Prix m’a permis, aujourd’hui, de passer du média presse écrite au média télé. Mieux d’être recruté eë tant que Jri (Journaliste reporter d’images) par la chaîne privée NCI qui vient sur le marché avec de grandes ambitions. De la plume, je suis aujourd’hui un journaliste capable de tourner ses sujets, de les monter et de les commenter. Je pense que je n’en serais pas là aujourd’hui sans le prix Ebony.
Vous allez rendre me tablier ce soir à un 'ou veau lauréat. Quel est votre sentiment?
Me voici désormais ex-Super Ebony. Le temps mange vraiment la vie. Tant d’images se bousculent encore dans ma tête. Comme celle de la réception du Prix des mains de la Première dame, Dominique Ouattara. Une première dans l’histoire des Ebony. Que d’émotions !
Quels conseils donnerez-vous aux 27 nominés de ce soir?
Je devine aisément l’état d’esprit des nominés. A ceux qui vont être ce soir, sur le podium de l’excellence, je leur tire déjà le chapeau. Ebony se vise. Ils ont su le viser. Et leur ténacité les hisse aujourd’hui au-devant de la scène médiatique nationale. Tout un message à ceux des nôtres qui resteront au pied du podium. Si tu veux épouser la fille du singe, apprend à grimper à l’arbre. Je voudrais humblement inviter tous ces confrères, hommes de plume, de micro et de caméra à méditer et à s’approprier cet adage mossi. Mon histoire connue de tous, il suffit pour comprendre que c’est possible quand on y croit et qu’on y travaille », dit-il très souvent, comme exemple.
Solange ARALAMON