La secrétaire nationale technique du PPA-CI en charge de la promotion du Parti auprès des nouveaux majeurs a invité, dimanche, les populations à adhérer au Parti des peuples africains (PPA-CI, nouvelle formation politique de Laurent.
Marraine de la célébration du 27e anniversaire de l’Association des Abbey et Krobou de Gonzagueville (Port-Bouët, route de Bassam), Fleur Aké N’Gbo a salué la dignité, le sens de l’honneur, la vaillance du peuple Abbey et son engagement, sans cesse, au combat du président Laurent Gbagbo, pour une Côte d'Ivoire démocratique et souveraine.
Elle a aussi invité ses parents à adhérer massivement au PPA-CI et à s’engager pleinement dans l’opération d’identification des nationaux, en se faisant établir leurs Cartes Nationales d’Identité (CNI).
« Je veux vous appeler à vous faire établir massivement vos pièces d’identité pour les élections qui arrivent. Car, si je suis votre modèle, sachez que j’ai, moi aussi, un modèle que s’appelle Laurent Gbagbo. Je vous appelle donc à regagner son parti, le PPA-CI, et à préparer ensemble les victoires aux élections prochaines locales ici à Port-Bouët, pour vous, qui y êtes, à Agboville et dans toutes les circonscriptions électorales du pays où vous avez des parents, des amis », a déclaré Fleur Aké N’Gbo, se disant honorée d’avoir été honorée d’être choisie comme marraine de la célébration.
Pour la secrétaire nationale, « l’heure n’est pas aux célébrations clinquantes ». Mais à s’organiser pour changer la politique « antisociale » du gouvernement.
Elle a offert la somme de FCFA 250.000 pour accompagner l'association dans l'opération d'identification nationale de ses membres et deux bons de formation dans une business school, d'un montant de plus de FCFA 700.000, afin d'aider et préparer les femmes de l'association à être autonomes.
Les membres de l’association ont offert à leur marraine, un portrait encadré d’elle, légendé par un acrostiche de ses prénoms Fleur Esther.
Par la voix de leur président, Esso Nicolas, les membres de ladite association ont dit avoir invité Fleur Aké M’Bo Esther afin de la voir physiquement mais aussi et surtout, écrire une histoire commune avec celle qu’ils appellent leur «révélatrice» et s’approprier son combat pour l’autonomisation de la femme.
Lambert KOUAME