Ebony du meilleur journaliste de la presse écrite (une première pour un journaliste spécialiste de sport).
Ebony du meilleur journaliste de la presse de sport (pour la seconde année consécutive, là aussi une première).
Les deux prix remportés par Gora Mahi Thomas ont rempli de fierté la rédaction et tout le personnel des Éditions Phénix, société éditrice du journal Le Sport.
Ces distinctions ont été également ressenties comme une véritable consolation dans cet environnement global de la presse écrite complètement biaisé par Edipresse, société de distribution au capital majoritairement détenu indirectement par l’Etat.
Vous avez dit miracle ? Non ! La volonté divine est évidente pour les croyants que nous sommes. Toutefois, cette distinction est également le résultat du professionnalisme. Non seulement d’une équipe (oui, nous travaillons comme dans un sport collectif), mais aussi d’un homme.
Gora Mahi Thomas n’a pas usurpé ses lauriers. Loin s’en faut. C’est un journaliste professionnel, dans l’acception la plus noble du métier. Ce père de famille, d’une humilité déconcertante, a accepté de poursuivre ses humanités, sur nos conseils, alors qu’il disposait déjà de solides acquis d’expérience. Il est revenu de l’école encore plus fort dans la pratique de son métier. Avec toujours cette attitude irréprochable au poste.
Celui qu’on appelle affectueusement « GMT » est un travailleur modèle. Nous lui faisons entièrement confiance. Il a toute notre bénédiction pour la suite de sa carrière que nous souhaitons encore plus reluisante. Gora Thomas a terminé deuxième du classement du Super Ebony, à quelques points du grand gagnant de la soirée. Il n’était pas loin de la villa. Ce n’est que partie remise.
Par Magloire Diop