En Algérie, les autorités ont bloqué depuis le mercredi 2 décembre plusieurs sites d’information, confirmant le verrouillage du paysage médiatique indépendant, en ligne notamment, et l’offensive contre la liberté de la presse et d’expression.
" Nous dénonçons vigoureusement cette censure arbitraire (…) dont nous ignorons le prétexte. Le journal n’en a jamais été informé "C’est une atteinte à la liberté de la presse et à la liberté d’informer" ", a réagi dans un communiqué l’équipe de Twala, nouveau-né du paysage médiatique algérien.
Le ministère de la communication n’a donné aucune explication à ces sanctions. Tout ce cycle se fait en absence du président Algérien, Abdelmadjid Tebboune, qui sera de retour dans les prochains jours, d'Allemagne, où il s’est fait soigner du coronavirus.
Sanogo Khady (stagiaire)