L'occasion était unique. Il fallait la saisir. Et échanger avec un monument de la trempe d'Arsène Wenger. Nous avons donc profité du 50e anniversaire de Variété Football Club (les anciens footballeurs de France), au stade de Poissy dans les Ivylines. Aux pas de course, il fallait le faire. Tant bien que mal. L'ancien boss d'Arsenal a juste lâché quelques mots pour Even News TV. Exclusif.
Que représente pour vous ce match qui célèbre le 50e anniversaire du Variété Football Club dont vous êtes membre ?
Déjà, c'est un match de charité donc utile qui permet d'aider des gens qui en ont le plus besoin. Ici, il s'agit des soignants dans les hôpitaux dans les Ivylines. C'est aussi un plaisir de retrouver ce si beau public qui partage la même passion que nous. Dans l'ensemble, ça été une très belle journée.
Vous n'êtes plus "actif" comme entraîneur, mais vous l'êtes à la FIFA. Quelle y est votre fonction exacte ?
Je suis actif, mais plus comme entraîneur comme vous le dites. Parce que je travaille désormais à la FIFA où j'aide à développer le football dans le monde. Et c'est la raison pour laquelle je ne suis plus sur le terrain. Malheureusement(riiirres...)
Pourquoi malheureusement ? Ça vous tente toujours le terrain ?
(Rirres ...) Booofff ! Pour le moment, je suis bien là où je suis à mon âge à la FIFA. Surtout pour le poste de développement que j'occupe.
Didier Drogba est candidat au poste de président de la Fédération ivoirienne de football. Êtes-vous au parfum de cela ?
Oui, je le sais. Et j'avoue que j'ai beaucoup d'estime pour Didier. J'espère qu'il réussira à se faire élire comme président de la fédération de Côte d'Ivoire. Parce qu'à mon avis, il peut apporter beaucoup au football ivoirien. Et je lui souhaite beaucoup de succès.
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