La SG de MTN Côte d'Ivoire et les responsables de l'InpHb de Yamoussoukro entendent soutenir les initiatives technologiques féminines
Dans la ferveur de la célébration de la journée internationale des droits de la femme 2024, MTN Côte d’Ivoire a procédé, mardi 05 mars 2024, à son siège d’Abidjan-Plateau, au lancement de la 2ème édition du concours « Y’ello Hackathon » pour les porteuses de projets nouveaux, audacieux et ambitieux, alliant innovation, intelligence artificielle et l’internet des objets.
Ce concours vise à fournir un espace d'apprentissage et de développement pour les jeunes filles intéressées par l'Intelligence artificielle (IA) et l'Internet par l'objet(IoT), leur permettant de concevoir des solutions innovantes qui intègrent ces technologies. Ceci témoigne d'une volonté de stimuler l'innovation technologique, tout en contribuant activement à l'autonomisation des jeunes filles dans le domaine de la haute technologie.
La secrétaire générale de l’entreprise de téléphonie mobile, Natenin Coulibaly, a expliqué les enjeux de ce concours. « C’est une opportunité pour les jeunes filles qui ressentent une envie de proposer des solutions innovantes. C’est pourquoi, nous espérons qu’elles viendront s’inscrire nombreuses parce que c’est pour elles que nous investissons plus de 25 millions dans ce projet », a-t-elle indiqué.
Elle a ajouté que les candidates retenues au terme des inscriptions qui s’étendront du 5 mars au 5 avril 2024 recevront une formation au Fab Lab (lieu au sein duquel des machines performantes sont mises à la disposition des utilisateurs pour leur permettre de donner vie à leurs projets) de l’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny (Inp-Hb) de Yamoussoukro, afin d’avoir tous les rudiments de gestion de leurs projets.
Et d’annoncer qu’au terme de la compétition, le 26 avril 2024, les équipes lauréates bénéficieront d’un accompagnement avec le soutien de mentors-experts. La meilleure équipe recevra quant à elle un accompagnement pour la mise en œuvre effective de son projet, en plus du don d’ordinateurs portables et d’une connexion internet gratuite.
Solange ARALAMON