Fpi ‘’le monstre’’ parent des ‘’microbes’’ !





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Le tristement célèbre prisonnier de la Haye, aujourd’hui en résidence surveillée à  Bruxelles (Belgique) se comporte de nos jours comme ‘’un éléphant dans un magasin de porcelaine’’.  C’est lui qui détruit de l’intérieur la formation politique qu’il a créée. Ne dit-on pas qu’un bon arbre porte de bons fruits et qu’un arbre mauvais, de mauvais fruits ? Pendant qu’il croupissait en prison en Hollande, feu Abou Dramane Sangaré et Pascal Affi N’Guessan se battaient au chevet de ce parti moribond, appelé à disparaître demain par la faute du radicalisme, l’extrémisme de ses cadres.  De son vivant, le professeur Abou Dramane Sangaré tirait un morceau de ce ‘’machin’’ appelé Front Populaire Ivoirien. Et Pascal Affi N’Guessan, l’autre morceau. Un parti malade de ses propres divisions et du venin qu’il véhicule. N’a-t-il pas en tant que formation politique, donné hier naissance à un ‘’monstre’’ appelé ‘’Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) ? Ce ‘’monstre’’ a convoyé sur les campus universitaires et dans les écoles, dans le système éducatif ivoirien, l’indiscipline, la violence, la contradiction du maître, de l’enseignant, l’irrespect. La ’’machette’’ est maniée avec dextérité sur nos campus et cours d’écoles par les apprenants. La Fesci a fait aujourd’hui, des  émules, ’’les microbes’’, ces ‘’gamins en rupture de ban avec la loi.’’ Un monstre ne peut engendrer qu’un autre monstre. ‘’Les microbes’’ ont copié sur les Fescites. Voila comment le FPI a contribué à détruire à petit feu l’école ivoirienne. Le mal de l’école en Côte d’Ivoire date de l’époque où un certain Laurent Gbagbo a suscité et accompagné la création de la Fesci. Le ‘’monstre’’ Fesci a engendré, enfanté de ’’petits monstres’’,’’les microbes’’.  Le venin de la violence politique gratuite s’est ainsi rependu et a gangréné l’école ivoirienne. La mort du FPI est aujourd’hui certaine avec les tiraillements de ces derniers jours entre Laurent Gbagbo et Pascal Affi N’Guessan. ‘‘Un prisonnier’’ peut-il continuer à diriger entre nous, un parti, même si c’est lui qui est le père-fondateur ? Du jamais vu et c’est ce que veut Laurent Gbagbo. On comprend donc que depuis la CPI c’est lui qui tirait les marrons du feu de la division au FPI. Et il le prouve aujourd’hui avec son exigence à voir Pascal Affi N’Guessan céder les rênes du FPI modéré, lucide, Le FPI est donc appelé à disparaître, à mourir, détruit par son propre venin. L’école ivoirienne pourrait mieux se porter demain. Et la violence extirpée du rang du système éducatif. Croisons les bras et regardons-les s’entre-déchirer, s’entre-tuer. Mort lente assurée donc pour le FPI.

Bonne lecture et à la semaine prochaine, inch’ Allah !

 

Bill Terrasson                          

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