L'auteur, en compagnie de l'épouse du Général Coulibaly, venue assister à la cérémonie
C’est l’amphithéâtre de l’ISTC Polytechnique d’Abidjan-Cocody qui a accueilli, jeudi 12 mai 2022 la première phase de présentation de l’œuvre « Général Abdoulaye Coulibaly, le parcours exceptionnel du pilote d’Houphouët Boigny » par le journaliste-écrivain, Traoré Moussa dit MT.
En attendant la grande dédicace publique prévue pour le 20 mai prochain, cette cérémonie a rassemblé la grande famille de la presse, venue découvrir l’oeuvre de leur confrère.
Selon le Professeur Sidibé Valy qui a procédé à la critique de l’œuvre, en compagnie de Michel Kouamé, il s’agit « d’une tranche de vie du général Coulibaly, le premier chaînon de sa vie qui nécessite une suite ».
« C’est une biographie et le sujet et la forme de l’œuvre obéit au réalisme-matérialisme. C’est un ensemble de prémices qui permet de mieux cerner le sujet. Cependant, il y a trop de non-dits et de questions qui restent en suspens. C’est donc un ouvrage inachevé. C’est la preuve qu’il y a beaucoup trop d’intimité et de respect entre le biographe et son sujet », a-t-il précisé.
Ecrit dans un langage simple et facile à lire, cette œuvre de 200 pages est subdivisée en trois (3) grands chapitres notamment, « Qui est le général Abdoulaye Coulibaly ? », « Général Coulibaly et Houphouët-Boigny » et « Abdoulaye Coulibaly et la Côte d’Ivoire »
Dans les différents chapitres, l’auteur fait ressortir *, entre autres les relations du Général avec le premier président de la Côte d’Ivoire ainsi que les difficultés que ce dernier a connues lors des crises, qui ont secoué le pays.
« Général Abdoulaye Coulibaly, le parcours exceptionnel du pilote d’Houphouët Boigny » est la deuxième production littéraire de Traoré Moussa dit « MT », après « Rôle et responsabilité des intellectuels dans la crise ivoirienne », en 2009.
Titulaire d’un diplôme d’études approfondies en lettres modernes (DEA) et d’un master en journalisme, Traoré Moussa est membre de la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH). Il exerce le métier de journaliste depuis 1997.
Il a été président de l’UNJCI de 2012 à 2019 et membre du Comité directeur de la Fédération africaine des journalistes (FAJ) de 2016 à 2019. Il a été également, décoré officier dans l’ordre du mérite ivoirien et officier dans l’ordre du mérite de la communication.
Solange ARALAMON